Just Cause 3 a reçu le patch 1.02, attendu de pied ferme par les joueurs, en fin de semaine dernière. Ce patch a-t-il réussi à corriger tous les bugs dont été infesté le jeu d’Avalanche depuis sa sortie ? Est-ce que vous pouvez maintenant acheter ce jeu sans rencontrer ses horribles bugs ?
Dès la sortie de Just Cause 3, une chose était évidente sur toutes les plateformes où il était disponible (PC, PS4 et Xbox One) : il était à peine jouable, infesté de bugs et exaspérait tous ceux qui l’avaient acheté ou pré-commandé.
Conscient que la situation était très problématique pour la réussite de son jeu, mais aussi pour sa réputation, le studio Avalanche s’était immédiatement mis au travail pour trouver des solutions et développer un patch qui corrigerait tous les bugs.
Le 17 Décembre, ce fameux patch (1.02) est arrivé et a été téléchargé par des milliers de joueurs, anxieux de découvrir si tout était revenu à la normale.
Et selon les retours (de joueurs et de la presse), la mission a été… en partie accomplie par Avalanche.
Même si une grande partie des soucis a disparu (jeu plus stable, plus de disparition de certains véhicules, plus de crash sur PC au redimensionnement de la fenêtre), certains restent toujours présents même si ils sont moins gênants.
Tout d’abord, les baisses de Frame-rate sont toujours d’actualité. Bien que moins violentes que dans la version 1.01, une vidéo de Digital Foundry montre que quelques baisses de performances sont toujours bien visibles par moments sur PS4.
De plus, les temps de chargements restent toujours assez longs (25 secondes environ) même si ils ne sont plus interminables comme auparavant, avec des pointes à 1 minutes de loading avant le patch.
La route est donc encore longue pour Just Cause 3 et Avalanche avant d’avoir un jeu complet, fonctionnel et correspondant au niveau de qualité qui devrait être exigé d’un titre AAA en 2015.
Mais le développeur l’a déjà admis et assure que ses équipes continuent à travailler d’arrache-pied pour éradiquer les derniers problèmes qui subsistent encore.