La Nasa explore déjà l’éventualité du voyage interplanétaire à l’aide de technologies avancées. L’une des méthodes étudiées actuellement est le mécanisme de Mark Rademaker, un moteur à distorsion. Mais des méthodes encore plus fantaisistes sont déjà imaginées par les scientifiques de la NASA, comme le « trou de ver ».
Mark Rademaker a collaboré avec Harold G.White, ingénieur de la Nasa, sur un « vaisseau spatial » : un moteur à distorsion, semblable à celui du vaisseau de Star Trek. Ce moteur permettrait à l’homme d’aller bien plus vite que l’engin spatial le plus rapide du moment, le satellite Hélios, qui pourrait atteindre les 720.000 KM/H, et doit être lancé en 2018.
La science a permis à l’homme de découvrir diverses méthodes (théoriques) permettant de contourner la barrière de la vitesse de la lumière, qui ne pourra jamais être dépassée selon Einstein.
Les scientifiques n’acceptent pas ces limites et de nombreuses hypothèses ont été explorées pour éviter le problème. Par exemple, le fait de passer par un « trou de ver » permettrait de se déplacer instantanément à travers l’espace.
Miguel Alcubierre, un ingénieur mexicain, a proposé en 1994 la théorie de possibilité d’allonger l’espace pour qu’il se contracte à l’avant d’un vaisseau spatial, et qu’il s’étende derrière lui. Ce qui permettrait à un vaisseau spatial de « surfer » à l’intérieur de l’espace comme une sorte de bulle à énergie négative qui ne traverserait pas le « mur de la lumière ». Dans ce cas, la bulle ferait seulement changer l’espace, ce qui concorde encore avec la théorie d’Einstein. Ce procédé a été appelé la métrique d’Alcubierre, comme son auteur.
Mais cette théorie présente aussi des inconvénients. Selon certains physiciens, un tel vaisseau spatial peut dégager une énergie capable de détruire tout ce qui se trouve sur son passage.
L’homme va-t-il se lancer à la conquête des étoiles d’ici quelques décennies ? Si on fait confiance à la NASA, cela pourrait bien arriver même si, il faudra attendre un bon moment.