Un trailer pour le mode zombie de Call of Duty Infinite Warfare a été révélé hier, 16 Août, par Activision et Infinity Ward. Sortez les vêtements fluo et les clichés des années 80 pour ce mode qui s’annonce totalement décalé.
Contre vents et marée, Infinity Ward continue à faire la promotion de son nouveau bébé, CoD Infinite Warfare. Dernière avancée marketing pour tenter d’appâter les fans et rassurer ceux qui doutent du tournant futuriste de la franchise : un trailer pour « Zombies in Spaceland ». Un mode zombie qui fait le chemin inverse de celui du jeu principal, en retournant dans les années 80.
Call of Infinite Zombies
Le mode zombies ne sera maintenant plus limité aux Call of Duty développés par TreyArch. Infinity Ward empruntera pour Infinite Warfare l’idée de « l’autre » studio CoD, pour proposer aux joueurs un mode zombie encore moins sérieux que celui que l’on connait déjà. Là où TreyArch insère quelques éléments loufoques ou étranges dans un scénario au final assez « sérieux », Infinity Ward a fait le choix d’être à 200% déjanté. Les joueurs vont prendre le contrôle de 4 personnages représentant des gros clichés des années 80, qui risquent de froisser la sensibilité de certains : André le DJ/rappeur façon LL Cool J, PoinDexter l’incarnation des pires clichés associés aux geeks, Sally la fille à la mode qui fait chavirer les coeurs, « A.J. » le sportif qui doit certainement être la star de son bahut. Ils vont devoir survivre dans un parc à thème infesté de zombie où ils seront espionnés par… David Hasseloff ?
Et le gameplay alors ?
Le trailer pour ce Zombies in Spaceland était d’une durée plus que correcte, ce qui a permis au développeur et à Activision de nous montrer quelques détails de gameplay. Pour ce mode qui sera proposé avec Call of Duty Infinite Warfare le 4 Novembre, les joueurs vont brûler, découper et éclater du zombie avec : une radio explosive qui attire les morts-vivants, des jeux de lumière/lasers qui donnent du rythme aux jambes en putréfaction, des pouvoirs surnaturels façon Jedi au rabais, etc. Tout ça nous à l’air plutôt prometteur, mais nous attendrons de mettre la main dessus pour en juger réellement.