L’iPhone 7 pourrait décevoir selon les dernières rumeurs qui l’annoncent peu différent de l’iPhone 6. De quoi refroidir les ardeurs des fans.
Si vous êtes l’un de ceux qui attendent impatiemment la sortie de l’iPhone 7, convaincu qu’Apple opèrera une révolution dans la conception de ses smartphones, vous risquez fort d’être déçu. Deux rumeurs apparues ces derniers jours suggèrent que le prochain « flagship » de la pomme aura une grosse odeur de réchauffé.
Une nouveauté iPhone 7, une seule
Selon les sources du Wall Street Journal, qui a abordé le sujet au cours de la semaine dernière, l’iPhone 7 n’apportera qu’un seul changement vraiment radical par rapport aux générations précédentes de smartphones de la marque. Et on sait déjà de quoi il s’agit : le retrait de la prise jack, au profit du port Lightning et d’un second haut-parleur. Le port Lightning sera utilisé à la fois pour recharger la batterie et brancher ses écouteurs (directement ? ou avec adaptateur spécial Apple ?). A part ce remplacement de prise, assez controversé, aucune autre nouveauté réelle ne sera implantée au coeur du prochain iPhone selon le WSJ. Toutes les autres « nouveautés » qui seront mises en avant dans les mois qui viennent ne seront apparemment que des resucées d’options explorées depuis longtemps par la concurrence, et de très légères modifications du design.
Des changements insuffisants
Car d’après le blog japonais Mac Otakara, l’iPhone 7 n’apportera pas suffisamment de changements dans son design pour mériter d’être considéré comme une vraie nouveauté. Sa caméra arrière passe à un double capteur (sur le 7 Plus) et sera un peu plus grande, certes. Son capteur de proximité et le capteur de lumière changent de place, bien sûr. Mais… c’est tout. Rien de plus, rien de moins (encore heureux), l’iPhone 7 sera en dehors de ces changements mineurs strictement identique aux iPhone 6 et 6S sortis ces dernières années. Apple préfèrerait apparemment garder toutes ses cartouches pour un futur iPhone 8 fracassant, avec notamment un nouveau type d’écran et de châssis. Mais peuvent-ils se permettre d’attendre 2017 lorsque la concurrence se passe le relais à chaque trimestre pour innover ?