Call of Duty qui cartonne actuellement avec Black Ops 3, a vu Activision être dédouané par la justice Française dans l’affaire les opposants à la famille de Savimbi.
Au début du mois de Février, nous mentionnions dans un article une procédure judiciaire qui avait été lancée à l’encontre de Treyarch et Activision, responsables de la création des jeux « Black Ops ».
Dans Call of Duty Black Ops 2, le chef de guerre Jonas Savimbi avait été reproduit en polygones par les développeurs du jeu. Il venait en aide au personnage principal de l’histoire et menait au combat ses troupes de soldats. Mais cette représentation virtuelle du rebelle Angolais n’avait pas plus à ses enfants, qui y avaient vu une caricature grossière, montrant un « gros bêtasson qui va tuer tout le monde ».
Ils avaient alors demandé réparation, exigeant un paiement de dommages et intérêts à hauteur de 1 million d’euros.
Cette semaine, ils se sont dis très déçus en apprenant la décision de la justice Française. Leur plainte a été jugée irrecevable à cause d’un vice de procédure : ils n’avaient pas prévenu le procureur de la République de leur action en diffamation contre Call of Duty.
Déboutés par les juges Français, ils ont expliqué qu’ils envisageaient désormais d’attaquer Activision et TreyArch devant la justice Américaine.