Dans une attaque web récente, une grande quantité de données (films et données d’employés) a été dérobée à Sony Pictures. Visée par l’oeil accusateur des experts, la Corée du Nord fait l’éloge de la cyber-attaque, mais nie totalement être impliquée. Le FBI commence a enquêter.
L’avis général tend à être le même au sujet de ces attaques : la Corée du Nord s’en prend à Sony Pictures à cause du film « The Interview », qui tourne à la comédie une tentative d’assassinat sur le dictateur Nord Coréen, Kim Jong-Un.
Pour couper court à ces « rumeurs » la télévision d’état du pays a publié une déclaration officielle, assurant que l’attaque était un acte juste et mérité par Sony, qui a commis un « acte de terrorisme » avec son film, mais que le gouvernement Coréen n’était pas impliqué. L’acte aurait selon eux été perpétré par des sympathisants à la cause du pays, dont « un grand nombre » peut-être retrouvé à travers le monde.
Sony Pictures doit en attendant gérer la crise.
Les films mis en ligne trop tôt (pas encore disponibles sur le marché comme Fury par exemple) ont déjà coûté des millions de dollars à la compagnie, et des milliers de données concernant leurs employés sont maintenant trouvables sur le web (adresses, numéros de sécurité social, compte-rendus sur leur travail, …).
Le FBI a déjà commencé à enquêter sur l’affaire, et selon les déclarations d’un expert, des traces laissées par les hackers auraient déjà permis de remonter … jusqu’en Corée du Nord.