D’après le co-fondateur de WhatsApp Brian Acton, il est difficile de stimuler l’adoption du service de messagerie WhatsApp aux Etats-Unis et dans certains autres marchés. Mais la société compte bien créer des revenus substantiels…
[quote align= »left » color= »#999999″] « Une croissance aux Etats-Unis est un défi pour nous » [/quote]Brian Acton a déclaré mercredi lors d’une conférence à StartX, genre d’incubateur pour les jeunes entreprises affiliées à l’Université de Stanford, que la croissance aux Etats-Unis pour sa société serait un défi. Ajoutés au Etats-Unis, le Japon et Taïwan seraient eux aussi des contrées difficiles à conquérir, même si avec un peu d’effort les résultats seraient quand même meilleurs !
Mais Acton a tenu à rester positif, sachant tout de même que l’application est désormais détenu par Facebook, le réseau social de Mark Zuckerberg ! Et pour sa première apparition depuis le rachat pour 19 milliards (partagés entre cash et action) c’est sur un ton assuré qu’il a continué son intervention.
Il a comparé les deux sociétés en déclarant que pour lui elles étaient « séparées mais égales » et que l’union de celles ci pourrait créer forcément des risque et périls…
Il a même fait quelques traits d’humour notamment en parlant d’un groupe de créatures de Star Trek capable d’assimiler les autres espèces… chose que Facebook a fait avec WhatsApp, mais qui ne lui apporte pourtant pas tous les renseignements habituels sur les utilisateurs. En effet, Facebook pensait apprendre beaucoup sur les utilisateurs de l’application, mais selon Acton, peu d’informations, mis à part un numéro de téléphone, étaient récoltées…
«Nous n’avons pas beaucoup d’informations au-delà d’un numéro de téléphone pour travailler»
On se demande alors… pourquoi avoir dépensé tout ça d’argent pour si peu d’informations…